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L’alternance au Togo en 2020, mais pourquoi pas? Et si la dynamique de Mgr Kpodzo est une piste de solution ultime!

L’alternance au Togo en 2020, mais pourquoi pas?
Et si la dynamique de Mgr Kpodzo est une piste de solution ultime!


« Ce qui élève l’homme par rapport à l’animal, c’est la conscience qu’il a d’être un animal... Du fait qu’il sait qu’il est un animal, il cesse de l’être. », écrivait Friedrich Hegel.
Le Togo n’est pas une démocratie, mais une des pires dictatures sclérosées de notre temps; une autocratie cinquantenaire et bientôt soixantenaire. Pourtant certains veulent y faire démocratiquement une révolution ou une transmutation sociopolitique pour enclencher un processus de normalisation démocratique.

Il est de mise que dans toute œuvre humaine l’escobarderie est possible. Cependant, elle ne devrait pas être convoitée ou y être intrinsèquement inhérente; encore moins être reproduite à l’incalculable.

D’entrée, je dis tout haut que je ne suis pas dans la logique des élections à la RPT/UNIR!
Car depuis la mémorable date du 5 octobre 1990 au Togo, nous avons eu sans alternance 6 élections présidentielles, notamment en 1993 avec le boycott de l’opposition traditionnelle, en 1998, en 2003, en 2005, en 2010 et en 2015; et 5 élections législatives tenues en 1994, en 1999 avec le boycott de l’opposition traditionnelle, en 2007, en 2013 et 2018 avec l’exclusion de l’opposition traditionnelle.

En ce qui a trait à l’opposition politique « plus ou moins crédible » il eut nombres d’unions, d’alliances; notamment le FAR, le FOD, le COD, le COD-2, le PFC, le FRAC, la CST, la Coalition Arc-en-ciel, la C14, etc…, sans de véritables convictions ou visions sur la finalité; le bonheur du peuple. Ce fut principalement des alliances de circonstances pour faire face à un cancer politique, chaque fois et toujours, métastasé. Sans moi, au diable le bonheur collectif convoité; semble être leur slogan.

Au point de départ, le recul ou enfin l’alternative?
Notons que l’échec politique de trop au Togo fut les dernières législatives du 20 décembre 2018, sur la base d’une « corruption diarrhéique de tout et tous avec les deniers publics du Togo; doublé d’un manque de « génie politique » d’une certaine opposition togolaise. Ceci a consacré par contre le « génie machiavélique » du RPT/UNIR. Il faut le leur reconnaitre. Ils peuvent même se permettre d’être « créatif, anticipatif et proactif dans l’horreur », contrairement à l’opposition traditionnelle. Nul ne peut plus chercher à les définir. Ils sont ce qu’ils sont.



En ce sens que ça crevait les yeux, qu’ils voulaient forcer l’opposition traditionnelle à l’erreur fatale. Car une des rares fois elle était sur une bonne lancée porteuse comme en 1990, Mais hélas. Le système RPT/UNIR avait encore réussi son coup et subséquemment à détruire la confiance mutuelle naissante et à les mettre les uns contre les autres. Conséquemment il les a forcés à aller en chiens de faïence aux élections locales de 2019 et ultimement aux présidentielles de 2020 sans les réformes souhaitées!

C’était une stratégie bien murie et implémentée, car ils savent que les réalités de la politique africaine, notamment le manque de moyens, de statures et de visions, obligent en fin de compte même les plus « cohérents en apparence » à l’évidence de la survie politique, sociale, économique ou ontologique; autrement à « être ».

Et qu’est-ce qui a changé sur la scène politique togolaise malgré tous ces revers et reculs sociopolitiques. Si ce n’est que le pouvoir se durcit dans sa logique du « chien aboie, la caravane passe en l’écrasant de surcroit ». À ce point, moi je les laisserais danser seuls, si les règles ne changeaient pas. Cependant tout compte fait, depuis quand une dictature s’autodétruirait pour le plaisir du peuple? Il ne faut pas se faire d’illusion.

Un peu d’innovation et d’ingéniosité, s’il vous plait !!!
Il faut être plus futé que le système RPT/UNIR.
L’idéale serait une révolution, qu’on ne décrète pas, naturellement. Malgré cela, on peut travailler sur ses éléments déclencheurs pour la favoriser.
Ou alors si on décide d’aller aux présidentielles 2020, il faut, nécessairement et impérativement, prendre RPT/UNIR à son propre jeu électoral; en faisant quelque chose d’inusité; bref un candidat de consensus ou de transition et non un candidat unique. Il faudrait alors être l’alternative.

Où est la nuance?
La subtilité entre une candidature unique et une candidature de consensus ou un levier de l’alternance réside dans le fait qu’une candidature de consensus permettrait de sauter certains piliers du mécanisme de maintien du dictateur adepte des élections de façades.

Et ce n’est pas tant la personnalité du candidat de consensus qui est décisif, mais la dynamique qu’il représenterait ou qui serait enclenché autour de lui, notamment le monitoring des votes, des décomptes, les compilations des résultats, la conservation des preuves, les réseaux et la guerre des communications. Finalement il faut pouvoir défendra la victoire, car il est de notoriété publique que les candidats de l’opposition ont toujours gagné les présidentielles au Togo, pourtant n’ont jamais été proclamés vainqueurs. Et donc, l’effluve partisane est un frein à la défense collective de la victoire.

Bref quand tout le monde ou la majorité serait mobilisée et convaincue de la défense de la « victoire du peuple avec l’Homme désigné », rien n’est impossible. Car dans ce cas d’espèce il n’y a plus l’odeur d’encens de la victoire de tel clan, de tel bord, de tel ou tel; mais de la victoire commune. C’est là la différence fondamentale et ce qui n’a encore jamais été fait au Togo.

Toute chose étant égale par ailleurs, cette dynamique met en veilleuse les enclaves politiques, le temps de déclencher l’alternative et de la transition. Ce n’est pas une candidature unique classique. Il est question d’engendrer un mouvement d’ensemble. C’est se donner le « GO », le « Tchooboué » pour pousser dehors le système RPT/UNIR.

Mon souhait est de croire que c’est cette dynamique que Mgr Kpodzro est en train d’implémenter; même si son choix de candidat, Agbéymé Kodjo, m’a un peu laissé dubitatif. Toutefois il faut une certaine dose de folie pour sortir des sentiers battus. Non seulement que Mgr Kpodzro soit un homme de Dieu, mais qu’il ait été tellement au cœur des « Secrets de la République au Togo» que son choix serait en connaissance de causes.

Qui est le saint, personne; alors…!
Tout ça pour dire qu’il n’y a pas de saints sur la scène politique togolaise et surtout pas. Un adage du terroir dit, quand vous mangez et que la sauce arrive à finir et si celui qui a été reprendre la sauce vous disait ce qu’il a entendu à la cuisine; vous n’aurez plus du tout envie de continuer par manger.

Pour preuve, les 2 ou 3 exemples suivants parmi tant d’autres :
Les récentes votes des uns et des autres élus municipaux de l’opposition pour les candidats de certaines listes RPT/UNIR, en connaissance de causes, ne sont que les dernières preuves de « suffisances d’aspirants politiciens ».

Les horribles massacres de Fréau jardin du 25 janvier 1993 qui refont surface avec le candidat de Mgr Kpodzro sont suffisamment horribles pour être banalisés. Toutefois, notons qu’ils ont été éventrés à certains leaders de l’opposition d’alors qui avaient estimé que ça aiderait leur cause, si ça arrivait. Par conséquent ils n’avaient rien entrepris, d’une manière ou d’une autres. Jugez-en vous-même. Ils sont autant coupables, sinon plus, selon moi.


Le nombre d’officiers togolais assassinés ou disparus parce qu’ils avaient à un moment donné pris contact ou fait prendre contact avec tel ou tel autre opposant et que curieusement Eyadema et sa clique aient été au courant.

Ce qui compte aujourd’hui et maintenant…!
La morale de l’histoire est que tout ce monde a fait pire ou fera pire s’ils sont convaincus du silence des autres. Par contre ils oublient que « ces silences des tenants » sont par contre très parlants aux oreilles initiées, comme celles de Mgr Kpodzro.

L’histoire décantée du Togo nouveau nous dira, qui est qui ? Allons à l’ultime d’abord. Jouer au saint a assez alourdi les fardeaux du peuple, tellement que nous sommes devenus les extraterrestres politiques de l’Afrique.

Le Togo est devenu, aujourd’hui, une poudrière de pauvreté grandissante, de repressions sauvages et d’état permanent de sièges militaires, de destruction et dilapidations systématique des structures étatiques, de déliquescence des infrastructures d’éducation, de santé. Il faut que ça change, car le Togo est en état de « rwandisation non négligeable ».

Le RPT/UNIR vit sur une autre planète…
Ce qui est surréaliste est que le système RPT/UNIR est en perte totale de la réalité quotidienne des togolais ou en déni de la réalité. Ainsi sur le site de la présidence du Togo, on énumère les fameux grands axes suivants de la supposée politique de Faure Gnassingbe :
Améliorer les revenus, les conditions et le cadre de vie des populations
Conforter et accélérer la croissance économique
Consolider le climat d’apaisement politique et de réconciliation
Renforcer l’accès aux services publics de proximité et de meilleure qualité
Renforcer l’inclusion économique, sociale et financière

De même, la conclusion de la biographie de Faure Gnassingbé sur le même site stipule que « En si peu de temps, le Président Faure GNASSINGBE à 50 ans réussit le miracle de réconciliation nationale et de relance économique de son pays. Il rêve de faire du Togo un pôle de développement de la sous-région ouest-africaine. »

Comment peut-on se réjouir des échecs patents?
Par contre en près de 15 ans du règne de Faure et 38 ans de celui de son père, la dette publique du pays par rapport au PIB était de 75,9 % en 2018 avec un taux record de 81,6 % en 2016; une agriculture qui représente 28% du PIB, mais qui emploie 62,5% de la population active, surtout dans le secteur informel. Il y a un taux de pauvreté de plus de 60 ou 65%.
Pour embellir tout ça, notamment les statistiques, on brade tout sans retenue. Lamentablement et inlassablement, les actifs du pays fondent comme neige au soleil et pour toujours; sous différents vocables et désignations plus que fantaisistes.

Les tenants de l’ordre anciens volent de plans en programmes pompeux, qui ne sont que des coquilles vides dans le but de créer le confort pour la minorité. Citons à titre d’exemples:
FNSI : Fond National de Finances Inclusives;
DOSI : Délégation à l’Organisation du Secteur Informel;
DSRP : Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté, version 1 et 2;
SCAP : Stratégie de Croissance Accélérée pour la Promotion de l’emploi;
PUDC : programme d’Urgence pour le Développement Communautaire;
PND : le Programme National de Développement;
6 février 2018 lancement des projets filets sociaux et services de base et d’opportunité d’emploi pour les jeunes vulnérables;
13-14 juin 2019, Cérémonie d'ouverture des travaux du Forum Togo-UE, considérés comme des rencontres historiques d’affaires de l’histoire économique du Togo;
17 juillet 2019, la convention avec le Fonds Khalifa des Émirats Arabes Unis de financement des chaînes de valeur agricoles à Lomé avec une enveloppe de 10 milliards de francs CFA.

Pire, dans une inconscience totale ou dans une conscience éludée le dictateur en chef Faure Gnassingbé joue à l’oiseau voyageur, entre autres. Quand on se fait une idée des Coûts en devises des déplacements en avion privé de délégations pléthoriques; notamment les salaires des personnels navigants et accompagnateurs, les frais opérationnels, les assurances, les droits d’atterrissage, l’hébergement et les commodités des délégations pléthoriques et divers, on ne peut qu’être dégouter.

Ainsi le magazine jeune Afrique classait Faure Gnassingbé dans le top des plus voyageurs en 2016, avec 22 voyages officiels durant l’année. Une moyenne de près d’un voyage aux 2 semaines. Et pour quelles retombées pour le pauvre Togo?

Nous avons alors essayé de compilés ses voyages ou déplacements officiels en 2018, pour mémoire. Et Faure Gnassingbé en avait fait aussi au moins 22, dont :
1) 22 janvier 2018, à la Cérémonie d’investiture du nouveau Président élu du Libéria, Georges Weah;
2) 27 janvier 2018, au 30è sommet de l’Union Africaine à Addis Abeba;
3) 2 février 2018, en visite de travail quelques heures à Conakry;
4) 21-22 février 2018, à Accra à la 5ème réunion de la Task Force présidentielle sur le programme de la monnaie unique de la CEDEAO;
5) 5 mars 2018, en déplacement à Ouagadougou au Burkina Faso;
6) 10 au 11 mars 2018 au 1er sommet de l’Alliance solaire internationale (ASI) à New Delhi en Inde;
7) 30 mars 2018, à à Sipopo (Guinée Équatoriale) la remise du prix international Unesco-Guinée Equatoriale pour la recherche en Sciences de la vie;
8) 3 avril 2018, visite de travail et d’amitié à Abidjan en Côte d’Ivoire;
9) 29 au 30 avril 2018, visite de travail et d’amitié à Doha au Qatar;
10) 12 mai 2018, à l’investiture du président élu de la Sierra Leone Julius Maada Bio;
11) 24 mai 2018, visite travail et d’amitié de 24h en terre gabonaise;
12) 1er juin 2018, aux Festivités marquant les 50 ans du CAMES à Ouagadougou;
13) 28 juin 2018, en Visite de travail au Nigéria;
14) 1er juillet 2018, au 31ème session ordinaire du sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’UA;
15) 25-28 juillet 2018, au 10è sommet des BRICS en Afrique du Sud;
16) 1er au 9 septembre 2018, au Forum Chine-Afrique (FOCAC) à Pékin tenu du 3 au 4 septembre;
17) 24 au 27 septembre 2018, au 73è session de l'Assemblée Générale des Nations Unies à New York (USA);
18) 1er au 2 octobre 2018, aux Festivités marquant le 60è anniversaire de l'indépendance de la Guinée à Conakry;
19) 24 octobre 2018, en Visite de travail et d'amitié au Ghana
20) 29 au 30 octobre 2018, au G20 Compact with Africa’ (CwA) et entretien avec le Président de la République Fédérale d'Allemagne à Berlin;
21) 18 décembre 2018, au Célébration des 60 ans de l'indépendance du Niger à Zinder au Niger;
22) 22 décembre 2018, au Sommet ordinaire de la CEDEAO à Abuja;

Et durant l’année 2019 Faure Gnassingbé augmenta la cadence de ses voyages officiels et nous en comptabilisons pour mémoire au moins 28 ou 29 (moyenne d’1 voyage au 12 jours), comme suit;
1) 28 janvier 2019, visite de travail à Abidjan en Côte d'Ivoire;
2) 22 février 2019, au Mini-sommet des chefs d'État sur la sécurité à Accra au Ghana;
3) 10 au 12 mars 2019, en Visite de travail, de prospections et d'amitié aux Emirats Arabes Unis;
4) 15 mars 2019, à Kinshasa, sa 1ere visite en RDC depuis l’élection de Félix Tshisekedi;
5) 25 au 26 mars 2019, au 7è Africa CEO Forum à Kigali;
6) 27 au 28 mars 2019, en Visite de travail à Pretoria en Afrique du Sud;
7) 2 au 3 avril 2019, à la Cérémonie d'investiture du Président Macky Sall;
8) 13 avril 2019, au Sommet extraordinaire de la CEN-SAD au Tchad;
9) 29 avril 2019, visite officielle de Faure Gnassingbé au Saint Siège au Vatican;
10) 7-8 mai 2019, fait une visite d'amitié et de travail à Libreville;
11) 25 mai 2019, à la cérémonie d'investiture du Président réélu d'Afrique du Sud;
12) 6 juin 2019, au Sommet Togo-Royaume Uni à Londres avec la 5e édition du ‘Débat annuel’ de Londres;
13) 8 juin 2019 8 juin, à la cérémonie commémorative du 10ème anniversaire de la disparition de Feu S.E Omar Bongo Ondimba;
14) 29 juin 2019, Faure Gnassingbé au 55è Sommet de la CEDEAO à Abuja;
15) 3 au 4 juillet 2019, à Kinshasa pour une visite de travail;
16) 4 juillet 2019, visite de travail à Kigali au Rwanda;
17) 7 juillet 2019 au 12è sommet extraordinaire de l'UA à Niamey;
18) 12 juillet 2019, à la 21è session ordinaire de l'UEMOA à Abidjan;
19) 9 août 2019, visite de travail à Libreville au Gabon;
20) 25 au 28 août 2019, était au Japon pour la Conférence des chefs d’État TICAD7 au Japon et visite à Watari Cho;
21) 14 septembre 2019, au Sommet extraordinaire de la CEDEAO sur le terrorisme au Burkina Faso;
22) 23-26 septembre 2019, au 74è session de l'Assemblée des Nations Unies,
23) 30 septembre 2019, à Paris pour la Cérémonie d'hommage au Président Jacques Chirac à Paris;
24) 22 octobre 2019, à la cérémonie d'intronisation du nouvel Empereur japonais, le Prince héritier Nahurito;
25) 23- octobre 2019, à Sotchi en Russie au premier sommet Russie-Afrique couplé d'un forum économique;
26) 8-9 novembre 2019, au Sommet extraordinaire de la CEDEAO à Niamey;
27) 2 décembre 2019, à Dakar (Sénégal) pour la Conférence sur le développement durable et la dette en Afrique subsaharienne; suivi le 3 décembre 2019 du Sommet extraordinaire de l'Uemoa sur les défis sécuritaires à Dakar
28) 21 décembre 2019, 56è Sommet ordinaire de la CEDEAO (session ordinaire de la Conférence des Chefs d'État) à Abuja

Sans aucun indicateur fiable de mesure de l’impact de ces voyages sur l’économie du pays, vous en convenez avez moi que nous sommes dans une phase de dilapidation systématique des maigres moyens de l’état que, sous d’autres cieux, on aurait pu utiliser pour répondre aux besoins élémentaires des populations les plus vulnérables.

Le Togo mérite plus, il mérite mieux

Et c’est ça qui devrait nous réveiller et allumer notre orgueil collectif pour faire réellement et définitivement du Togo, l’or de l’humanité.

Nous en avons les moyens, les talents et de multiples potentialités.

Osons et produisons des résultats pour la recherche du bonheur collectif!
Joseph Kato (02.01.2020)

 

 

L’alternance au Togo en 2020, mais pourquoi pas? Et si la dynamique de Mgr Kpodzo est une piste de solution ultime!